"Il n’y a pas de tyrannie qui ne tente pas de limiter l’art, car elles voient le pouvoir de l’art. L’art peut dire au monde ce qui ne peut être partagé autrement. C’est l’art qui transmet des émotions et des sentiments." 

- Volodymyr Zelensky, Président de l'Ukraine

Jan Cox

(c)image: M HKA
The Fog In Maine, Boston, 1957
Peinture , 350 x 350 mm
oil on cardboard

Cette gouache intitulée The Fog in Maine, Boston (1957) est une étude préparatoire pour le tableau ultérieur The Fog de 1960, mais elle s’inspire d’un tableau plus ancien, The Fog in Maine de 1957. L’élément déclencheur de cette œuvre était un trajet en voiture avec des amis lors duquel un grand papillon de nuit a volé sur le pare-brise.

Dans le premier tableau de 1957, ce papillon de nuit est représenté de manière parfaitement reconnaissable, avec à droite, tout comme dans les œuvres ultérieures, une tête d’oiseau au cou allongé qui s’étend au-dessus d’une nappe de brouillard. Dans l’étude préliminaire du tableau qui suivra, Cox a réduit ce papillon de nuit à une vision, ce qui confère un accent plus dramatique à l’atmosphère jusque-là plutôt neutre.

Jan Cox reprend sans cesse certains thèmes et motifs dans ses créations artistiques et continue à les développer : « On peut trouver dix nouvelles idées, auxquelles on n’aurait pas du tout pensé et qui émergent de ce qui vous occupe. Plus on travaille, plus on a de travail. C’est sans fin. » (Jan Cox)