"Il n’y a pas de tyrannie qui ne tente pas de limiter l’art, car elles voient le pouvoir de l’art. L’art peut dire au monde ce qui ne peut être partagé autrement. C’est l’art qui transmet des émotions et des sentiments." 

- Volodymyr Zelensky, Président de l'Ukraine

Jan Cox

©Courtesy Adriaan Raemdonck
Papageno, 1976
Peinture , 80 x 75 cm
acrylic on canvas

« Après avoir achevé le cycle de l’Iliade, Jan Cox projetait de peindre un pendant à la série, inspiré de La Flûte enchantée de Mozart. Après la beauté douloureuse et hautement dramatique de l’Iliade, il souhaitait créer quelque chose autour de la compassion et de la tendresse, ce à quoi se prêtait parfaitement l’opéra maçonnique de Mozart, qui offre une image optimiste de l’être humain. Mais après la guerre d’usure qu’a constituée le cycle de l’Iliade, il n’a pas pu achever ce projet. Il n’en a réalisé que quelques pièces qui sont plutôt des illustrations de l’opéra (Papageno) et c’est en peignant que son sujet a évolué vers une thématique plus personnelle[1]. »

 

[1] Philippe Pirotte, Jan Cox, Snoeck-Ducaju & zoon, Gemeentekrediet, 1996, p. 24